Cancer

Témoignage exceptionnel d’un médecin confronté au cancer

cancerJ’ai 65 ans ; j’ai exercé la médecine générale de septembre 1975 à septembre 2010.

Ma maladie commence en mars 2010 : au cours d’une séance de jogging, je ressens une gêne douloureuse dans la hanche droite et la fesse droite qui me fait porter le diagnostic de tendinite du moyen fessier ; depuis ce jour une légère boiterie à la marche persiste mais lorsque je pratique mon sport favori, le VTT je ne ressens aucune gêne.

N’ayant aucune douleur nocturne, me sentant par ailleurs en très bonne forme, je décide de patienter et d’attendre une guérison spontanée !

Devant la persistance de cette boiterie, je me décide à faire des radiographies standards dans le courant du mois de mai, qui ne montrent qu’un peu d’arthrose lombosacrée.

En août 2010 : apparaît une sciatalgie gauche avec parésie des muscles releveurs du pied gauche ; je commence à m’inquiéter et je me prescris un examen IRM de la hanche droite.

Le résultat est malheureusement très inquiétant, d’emblée, avec présence d’une importante tumeur osseuse de 7cm de diamètre qui me détruit la moitié de l’aile iliaque droite. Le bilan d’extension (petscan, scintigraphie osseuse, et scanner corps entier) réalisé par la suite révèle :

  • une autre lésion osseuse sur l’arc postérieur de la vertèbre L4 à gauche ;
  • une autre lésion sur l’arc postérieur de la vertèbre dorsaleT4 ;
  • plusieurs lésions hépatiques d’allure métastatique.

Mais on ne retrouve aucune trace de la tumeur primitive !!!

Une biopsie osseuse est effectuée sur la lésion de l’aile iliaque droite: L’examen anatomopathologique répond qu’il s’agit d’un adénocarcinome bien différencié mais les différentes analyses histochimiques ne permettent pas de dire de quel organe il provient ; je me retrouve avec le diagnostic de CUP (cancer with unknown primitive).

Mon oncologue (qui est aussi un de mes anciens stagiaires) est bien ennuyé.

Il est décidé de démarrer une série de 10 séances de radiothérapie sur les lésions osseuses qui sera suivie d’une chimiothérapie probabiliste à large spectre comme pour un cancer du côlon.

Fort heureusement les cellules cancéreuses s’avèrent très radio sensibles et dès la 5ème séance de rayon la sciatique gauche ne me fait plus souffrir.

Je bénéficie ensuite de 10 cycles de chimiothérapie de 3 semaines chacun (oxaliplatine et xeloda) ; la tumeur est également très chimiosensible et je me retrouve presque en rémission au contrôle de la fin mai 2011.

Entre temps j’ai fait une coloscopie qui est strictement normale.

Je termine mon traitement en août 2011 par quelques séances de radiothérapie et cyber knife sur un reliquat de métastase hépatique ; les lésions osseuses se sont recalcifiées et la boiterie a complètement disparu : je mène une vie tout à fait normale en marchant ou en roulant à VTT plusieurs heures par jour.

La maladie récidive en avril 2012 au niveau hépatique et je reprends courageusement la chimiothérapie qui est à nouveau efficace mais en août 2012 une allergie à l’oxaliplatine impose l’arrêt du traitement.

Comme les lésions hépatiques ne marquent pratiquement plus au petscan du mois de novembre, il est décidé d’attendre sans nouveau traitement.

Le contrôle du mois de janvier 2013 est correct mais en mars la récidive est confirmée.

Il est alors décidé de débuter une chimio à base de carboplatine et gemzar mais auparavant je pars faire du ski pendant une semaine. Le 15 avril, la perfusion de carboplatine se passe bien mais 2 jours après la 2ème injection de gemzar, je me retrouve avec une toxidermie intense, avec des plaques éruptives sur tout le corps ! Par ailleurs, les plaquettes sanguines ont fait une chute vertigineuse en dessous de 500 ; on me perfuse donc du concentré plaquettaire vu le risque hémorragique non négligeable ; mais au bout de 5 minutes après le début de la perfusion je fais un choc allergique !

Je me dis que mon corps est saturé de poisons et qu’il est grand temps de s’intéresser à d’autres traitements moins toxiques !

Sur ces entre-faits, grâce à un confrère local, je lis le livre du Dr Laurent SCHWARTZ, “Cancer, guérir tous les malades ?”.

Je suis enthousiasmé par cette lecture et il me reçoit très aimablement à l’école Polytechnique.

Je débute rapidement les injections d’acide lipoïque, et la prise buccale d’hydroxycitrate et de naltrexone low dose.

Le petscan de juillet montre une nette régression des lésions hépatiques qui ne peut pas s’expliquer avec la seule cure de chimio du mois d’avril d’après le cancérologue.

CONCLUSION : le traitement métabolique est efficace.

Nouveau petscan du 1er Octobre 2013 : c’est la déception ! Les lésions hépatiques reprennent du volume ; Laurent Schwartz me conseille de reprendre une chimiothérapie douce en poursuivant son traitement ; mon cancérologue me propose de reprendre simplement du Xeloda en comprimés par cure de 15 jours avec repos d’une semaine.

En attendant je décide de faire ce que j’avais en tête depuis quelques mois: j’entreprends un jeûne thérapeutique après avoir lu de nombreux témoignages de guérison de cancers avec la cure de BREUSS (voir ce livre ou celui-ci) ; et me voilà parti pour 42 jours de jeûne en absorbant uniquement de nombreuse tisanes, un peu de jus de légume cru et un bol de bouillon d’oignon par jour (sans les pelures). Expérience extraordinaire ! En 3 ou 4 jours la sensation de faim disparaît et un bien-être particulier vous envahit avec une certaine euphorie liée à l’inondation du corps par les endorphines et les corps cétoniques ; au cours de ce jeûne j’ai perdu 15 kg en marchant 1 à 2 h par jour sans aucune fatigue et avec une stabilité parfaite de tous les paramètres biologiques !

À l’issue de ce jeûne, je reprends les cures de xéloda et le traitement métabolique de Laurent Schwartz mais également d’autres produits trouvés dans mes recherches sur le net: jus de noni, jus d’aloe arborescent, reishi, lactoferrine, zéolithe; si bien qu’au contrôle de janvier 2014 les lésions hépatiques ont très fortement régressé et en avril, elles ne sont pratiquement plus visibles; je décide donc d’arrêter là la chimiothérapie qui de toute façon ne me guérira pas!!! Et qui finira par altérer mon bon état général et ma qualité de vie.

En juin je découvre le régime cétogène et ses vertus thérapeutiques sur le cancer puisque il induit un état métabolique proche du jeûne : je commence à m’alimenter dans ce sens mais c’est la lecture récente du livre de Thomas Seyfried et des médecins allemands Kammerer et Schlatterer qui va me permettre de me situer à un niveau de cétose efficace.

Je constate comme plusieurs patients qui l’ont essayé, que ce régime est très énergisant avec disparition des fringales, des coups de pompe, puisqu’on ne consomme pratiquement plus de sucre.

Je décide d’attendre encore quelques mois avant de refaire un nouveau contrôle petscan puisque dans tous les cas de figure, je n’ai pas l’intention de reprendre la chimiothérapie.

Je débute ma 5ème année de survie avec une excellente qualité de vie, ce qui est assez surprenant quand on sait que les taux de survie à 5 ans des CUP sont proches de zéro.

Mon observation médicale appelle plusieurs commentaires :

1) J’ai probablement la chance d’avoir un cancer peu agressif, très chimio et très radio sensible.

2) Le traitement conventionnel par radiothérapie et chimiothérapie a été très efficace : mais la toxicité de la chimiothérapie implique qu’elle ne peut être poursuivie trop longtemps sans finir par dégrader l’état général avec destruction progressive des capacités de défense de l’organisme.

3) Le traitement métabolique du Dr Schwartz est manifestement efficace mais ne peut à lui seul assurer une rémission de longue durée ; c’est pourquoi j’y ai associé depuis un an, la prise régulière d’un autre traitement complémentaire, certes empirique, (jus de noni, jus d’aloes, lactoferrine, reishi, zéolite) mais qui est peut être également responsable de mon bon état général actuel ; on trouve sur le net des témoignages de l’efficacité surprenante de ces produits.

4) Le jeûne thérapeutique permet de booster la chimiothérapie, d’en diminuer les effets secondaires, et crée un environnement métabolique défavorable au développement des cellules cancéreuses : mais cette méthode ne peut être conseillée aux patients déjà affaiblis et amaigris par le cancer.

5) Le régime cétogène, qui permet de mettre le corps en cétose comme le jeûne, mais qui à la différence, peut être poursuivi indéfiniment, offre un grand espoir (d’après quelques témoignages récents) de contribuer à stabiliser l’évolution du cancer et peut être dans certain cas de le faire involuer et disparaitre.

Écrit le 10 novembre 2014

Dr Philippe GENTIT

Ce témoignage a également été publié sur le site de l’Association Cancer Métabolisme.

[MISE A JOUR – 4 AOÛT 2016]

C’est avec tristesse que j’apprends par son épouse le décès du Dr Philippe Gentit survenu le 11 juin 2016.
Voici ce qu’elle m’a écrit : « Il a accepté de faire une dernière chimio en janvier car l’évolution de ses métastases le demandait (foie et vertèbres en particulier) et elle s’est avérée insuffisante et inefficace. Il a donc renoncé à se traiter tout en continuant certaines options alternatives (huiles essentielles, vitamines, pas de sucres…).
Mais au bout de 6 ans de combat acharné il a dû rendre les armes. »
Mes condoléances à sa famille et ses proches.

*

*          *

A consulter : le blog du Dr Laurent Schwartz “Guérir du cancer”.



Portez-vous bien !
 Florian KAPLAR
© Naturo-Passion

20 réflexions sur “Témoignage exceptionnel d’un médecin confronté au cancer

  • Bonjour.
    Ce Doctorant en médecine présente un fort potentiel vital.
    Cette caractéristique a permis :
    Une réduction de son niveau de toxines accentué par la chimio et traitement divers.
    Une régénération des organes en cause.
    Un jeûne bien conduit, sans aucun apport extérieur, sauf eau, était suffisant. L’instinct somatique à double tâche :
    Eliminer la toxémie endogène + la toxémie iatrogène.

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  • Il s’en sort doucement mais à quel prix !
    Car il<ne parle pas de ses souffrances !
    Mais ce qui m'étonne la PLUS
    c'est qu'il ne se soit pas posé la question du pourquoi il a développé ce cancer, pourquoi ce cancer là , pourquoi à cet endroit là pourquoi a cette période précise de sa vie, quel évènement à enclenché la " prolifération " !
    Et que malgré toutes ses lectures passionnantes et sérieuses et utiles il ne s'est jamais laissé interroger par ces bases , que il est vrai ses études de médecines lui ont expurgées du cerveau, manifestement avec succès.
    Je lui souhaites de rencontrer celui qui va lui permettre de faire ce petit bout de chemin qui lui reste vers le guérison et non plus la survie !
    Amitiés et bonne santé à tous.

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  • Bonsoir ,
    Je suis naturopathe ,pas du tout étonnée par le résultat obtenu par ce médecin .
    Quand un naturo parle de jêune ,de cure De Breuss et autres médecines alternatives ,le corps médical nous rit au nez ,allant même parler de “fadaises “.
    Ce témoignage du DR Gentit est courageux,mais je me demande comment il aurait réagit face à un patient lui exposant ce traitement .
    Ceci dit,ce traitement n’est pas nouveau loin s’en faut.
    Tout le bien au Dr Gentit.
    Claudie

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  • Si ce confrère pouvait faire tous les 6 mois un bilan cancérométrique du dr Yves Augusti (labo Lauriston paris) il aurait un éclairage sur les mécanismes immunophysiologiques sous-jacents à son bon état général après prise de remèdes “empiriques”.

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  • Dr Drouin

    Bonjour
    Y a t’il eu un stress psychologique non exprimé préalable au diagnostic ?
    Merci d avance

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  • Florea Virgil

    J’ai 60 ans, en octobre 2014 j’ai fait une grosse melene, et la gastroscopie avec biopsie a révélé un adénocarcinome bien différencié de 4x4x2,5cm a la jonction oesogastrique + un assez important renflement de 3-4 cm sur l’oesophage distal. Pas de métastases, pas d’adenopaties.
    Les médecins m’ont proposé : chimiothérapie, résection totale de l’estomac, d’une partie de l’oesophage, plus d’autres parties pour faire bonne mesure. Ensuite ré chimiothérapie plus radiothérapie.
    J’ai refusé.
    Après des mois de recherches, j’ai fini par choisir mon traitement: le jeune hydrique.
    J’ai fait un test : 20 jours de jeune hydrique.
    Ensuite ré gastroscopie (il y a 2 semaines) et le résultat est incroyable:
    L’adénocarcinome a diminué en volume d’environ 7 fois, il a perdu sa forme et structure degoulinante d’acide, ça n’est plus qu’un petit renflement de 2,5cm, d’une texture très semblable à la muqueuse normale de l’estomac.
    Le renflement de l’oesophage a lui aussi beaucoup diminué. J’avais également une très vilaine gastrite érosive, presque disparue aussi – et Helicobacter absent !
    Et j’ai des éléments qui me font penser que ça continue à diminuer – mais ce serait trop long a expliquer ici.
    En octobre je referai une gastroscopie, et s’il reste quelque chose, je ferai un second jeune, mais plus long, pour terminer le boulot 🙂
    Je ne m’attendais pas à un résultat aussi énorme avec un jeune si court. Je connais 3 personnes qui se sont débarrassés de leurs différents cancers En jeûnant (il y a 8, 18 et 25 ans, depuis pas de récidive) mais eux ont fait des jeunes bien plus longs. Ces personnes m’ont beaucoup inspiré, bien évidemment.
    Voilà, histoire a suivre !

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    • bonsoir,
      avez- vous fait le jeûne toute seule chez vous ou bien vous êtes vous fait aider et dans ce cas pourriez vous m’indiquer qui
      comment avez vous procédé ? que de l’eau pendant 20 jours ?

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    • Donnez nous la suite de votre histoire svp. J ai le même cancer que vous.

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      • Bonjour
        J avais un adénocarcinome à déviation minime du col uterin de 4×3,2cm découvert en octobre 17. Refusant la radiochimiotherapie, j ai fait un jeune hydrique de 27jours, seule chez mou avec le livre de shelton, je n ai pas pu faire plus longtemps à cause du poids perdu. J ai repris l alimentation n importe comment il ya 2 semaines souffrant d une affreuse boulimie avec absence de satiété MAIS suite à irm ce lundi, ma tumeur à reduit quasi de moitié 2,4×1,9cm et aucune réaction au tepscan, elle ne scintille plus. Mon oncologue m a gentiment dit d aller me faire suivre chez mon gyneco et de refaire des examens dans 6 mois sans m en dire plus, je ne sais si j ai encore une tumeur active ou en attente de destruction de cellules mortes par min corps. Ayant encore une masse, cancereuse ?, je me requinque et refais un jeune pour disparition complète de la “lesion” (appelée ainsi au tepscan, “lesion invisible”) . Par ailleur, j avais aussi un fibrome sur l uterus de 5,2cm reduit à 4cm

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  • Le cancer est l’expression d’une souffrance inexprimée qui pourrit dans le corps et se localise sur l’endroit à réparer( docteur HAMER). Quand on a pris conscience de cette vérité, les moyens de guérir sont multiples et … sévèrement combattus par la médecine “officielle”!( même le jeûne)Tant que le cancer fera vivre(avec l’argent public) beaucoup plus de monde qu’il n’en tue, pourquoi se poser des questions?

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    • delphine

      Bonjour,
      Je viens de découvrir la théorie du docteur HAMER extrêmement passionnante cependant je pense le cancer a plusieurs origines et peut être du à un empoisonnement environnementale comme dans mon cas, j’ai eu un cancer de la thyroide en 2006 du a tchernobyl mais je pense pareil pour les pauvres gens contaminés à l’amiante, après je suis convaincu que notre corps a la capacité de nous réparer ou plutôt notre cerveau, être positif c’est semble t-il 50% de guérison avéré dans mon cas puisque je suis encore la et je suis convaincu que l’alimentation joue un rôle important alors vive le jardin, le sport et vive la vie

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  • Bonjour,
    Mon père, est atteint d un cancer du poumon a petite cellule métastasé au cerveaux, malgré de la chimio, maintenant il va tenter de la radiothérapie pour le cerveau plus une chimio en cachet.
    Il souhaite essayer le jeune, pensez vous qu il failles le faire avant ou après cette 2nde chimio ou peut il le faire après.Merci pour vos précieux conseils.
    Cordialement

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  • Bonjour,
    Merci pour votre témoignage. J’aimerai rencontré le Dr Schwartz. Apparemment il ne consulte plus à la Pitié Salpétrière. Il consulterait dans le privé. Mais où exactement?
    Je vous remercie de votre réponse.

    Répondre
    • Bonjour, j’aimerai pouvoir entrer en contact avec le Dr SCHWARTZ, mais je ne sais pas ou je peux le joindre. J’ai contacté la Pitié Salpétrière, mais personne n’a pu me renseigner. Savez-vous ou il consulte maintenant ?Je vous remercie par avance de votre réponse.

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      • le répondeur sur lequel on tombe dis qu’il n’exerce plus dans cet hopital depuis des années.

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  • Bonjour,
    Je viens de lire le commentaire ci-dessus de Sonia. Je leur ai envoyé hier soir un mail sans réponse. Je ne comprend pas qu’il n’y ait personne qui puisse me communiquer l’adresse du cancérologue Laurent SCHWARTZ ? Merci de votre aide qui pour moi est très urgente.
    Cordialement,

    Répondre
  • C’est avec tristesse que j’apprends par son épouse, que le Dr Philippe Gentit qui avait livré un récit poignant de son combat contre le cancer, est décédé le 11 juin 2016.
    Voici ce qu’elle m’a écrit : “Il a accepté de faire une dernière chimio en janvier car l’évolution de ses métastases le demandait (foie et vertèbres en particulier) et elle s’est avérée insuffisante et inefficace. Il a donc renoncé à se traiter tout en continuant certaines options alternatives (huiles essentielles, vitamines, pas de sucres…).
    Mais au bout de 6 ans de combat acharné il a dû rendre les armes.”
    Mes condoléances à sa famille et ses proches.

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  • jeanjean

    Merci de partager ce temoignage dans les details. Tres interessant!
    Personnellement, j’en conclus que c’est plutot une bonne idee de prendre les choses en main suffisament tot et d’appliquer un protocole de prevention active, tel que celui decrit par le docteur Gernez, plutot que “d’attendre” de se retrouver face au fait accompli.

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  • Cette année, cela fait 20 ans que je tiens “en échec” ma leucémie chronique.
    A l’annonce de la maladie( il y a donc 20 ans)j’ai suivi une courte psychothérapie (5 séances d’une heure) pour comprendre l’origine de la maladie << tout bénèf!!!! j'ai changé aussi mon alimentation ( très peu de viande, bcp de légumes fruits et graines, huile de chanvre, huile de nigelle, ail, oignon) et après avoir consulté un naturo, j'ai fair des cures successives de lapacho, viscum album, phycocyanine, amandes amères d'abricots, propolis rouge, CBD, algues Klamath, champignons Shitaké, alkylglycérols, bains Salmanov, thermothérapie, curcumine, bromélaïne, tisanes de graviola, de racines de pissenlit) Plus une bonne dose d'optimisme, de joie, de foi en la vie et en moi, prière, méditation… A ce jour, je me porte comme un charme et je ne vois presque jamais le médecin.

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  • LAPORTE Michèle

    Je suis atteinte depuis 2013 de mélanomes internes. D’abord mélanome vaginal qui a été maîtrisé par interventions chirurgicales (plus de 10) chimio, puis rayons,et enfin immunologie non-stop. J’ai développé en 2017 un nouveau mélanome situé sur 3 zones “connectées” : la vésicule biliaire qui m’a été ôtée en mars 2017 et maintenant le colon et la surrénale droite. J’envisage une cure de Breuss mais je suis en grand manque de protéines, de fer et il faut me transfuser de temps en temps. Puis-je entamer un régime dont l’objectif est de diminuer encore les protéines ?
    Merci de vos réponses

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