Bien-être

La bioélectronique, une médecine du « terrain »

Louis-Claude VINCENT

La notion agricole de « terrain », souvent utilisée en biologie, caractérise le potentiel de vitalité d’un être humain. Depuis l’Antiquité, plusieurs définitions de ce « terrain biologique » ont été proposées, mais aucune n’a atteint la rigueur scientifique de la bioélectronique créée en 1948 par un ingénieur français de génie : le professeur Louis-Claude Vincent.

 
1 – Réalité objective du terrain biologique.
De nombreuses maladies sont causées par des parasites (microbes, virus, bactéries), mais il est facile de constater que les humains d’un même secteur géographique ne sont pas tous  affectés. La contamination n’est donc pas systématique et ceci confirme que des mécanismes de défense protègent les humains très différemment et de manière plus ou moins efficace. La qualité du terrain biologique individuel joue donc un rôle important, encore peu reconnu malheureusement par la médecine officielle.
a – Principe de l’homéostasie.
On sait pourtant, depuis plus d’un siècle, que les êtres vivants ne peuvent vivre qu’entre certaines limites physiologiques de leur milieu intérieur. Dans cet espace vital, existent des valeurs optimales de parfaite santé et d’autres valeurs qui correspondent aux diverses maladies. Personne n’échappe à cette loi fondamentale de la vie.
Cette stabilité du milieu intérieur signalée dès 1865, par le physiologiste français Claude Bernard, a été confirmée en 1926, par le physiologiste américain Walter Cannon, qui a appelé homéostasie la constante moyenne de la composition du sang, avant de constater une stabilité dynamique comparable dans tous les domaines physiologiques : hydrique, minéral, chimique, physique et même ce qu’il ne pouvait savoir encore, bioélectronique.
La stabilité générale est assurée de manière automatique par le système neuro-végétatif (diencéphale, hormones et organes spécialisés : foie, reins, poumons, peau, intestins…). A chaque instant sont mis en œuvre des mécanismes régulateurs efficaces :
– pour préserver les équilibres physiques fondamentaux (acido-basique, oxydo-réduction, activité-sommeil, température, assimilation-élimination … ),
– et pour maintenir en valeur moyenne constante les paramètres chimiques : minéraux oligo et macro éléments (calcium, potassium…) et organiques (glucose, cholestérol, lipides, triglycérides …).
Ces mécanismes naturels sont en relation étroites avec les diverses sensations et besoins physiologiques (soif, faim, élimination, sommeil, fatigue, stress, malaises…), permettant aux mesures des divers paramètres des liquides physiologiques du corps, d’osciller autour d’une constante de bonne santé.
b – Une régulation active.
Quand la valeur mesurée s’éloigne trop de la norme, elle signale un malaise, qui renseigne sur l’état général du malade et sur la manière de restaurer sa santé. Lorsque les écarts deviennent trop grands, d’autres mécanismes se mettent en place (dirigés par le système immunitaire) pour retrouver les normes de la santé. C’est le rôle méconnu des maladies d’épuration (rhume, grippe …), qui permettent à l’organisme d’éliminer les déchets (toxines diverses), dont la surcharge est devenue excessive.
Un praticien compétent saura aider l’organisme et favoriser le retour à l’équilibre, condition essentielle de la santé. Cette notion de terrain très ancienne en médecine a gardé pendant longtemps un aspect empirique. Au siècle dernier, Louis Pasteur a reconnu sur son lit de mort l’importance du terrain et sa propre erreur en disant : « Claude Bernard a raison, le microbe n’est rien, c’est le terrain qui est tout. » Mais il faudra attendre les travaux des spécialistes en bioélectronique pour apporter à cette notion une rigueur scientifique irréfutable. (1)
2 – Les facteurs bioélectroniques
La bioélectronique est la technique scientifique qui mesure les micro-courants qui accompagnent d’un point de vue dynamique, les échanges biologiques nécessaires à l’entretien de la vie. La vie n’est en effet possible qu’en présence d’eau, car elle seule permet aux phénomènes physiques de s’accomplir (2). Il existe trois mesures indispensables pour caractériser un milieu aqueux et un terrain biologique :
– Le potentiel acido-basique appelé pH, dont l’échelle va de 0 à 14, mesure le degré d’acidité et la quantité de protons H+..
– Le facteur d’oxydo-réduction appelé rH2 dont l’échelle va de 0 à 42, reflète la disponibilité du milieu en électrons e.
– La résistivité appelée (mesurée en ohms.cm), correspond à la concentration en minéraux.
Ces 3 mesures, obtenues à l’aide d’un appareil appelé bioélectronimètre, définissent donc de manière précise la qualité de tous les produits de la nature et l’état de santé des êtres vivants humains et animaux. Voici par exemple les mesures de trois végétaux de culture biologique :
Tableau 1_BEV
 
 
 
3 – Les quatre types de terrains.
Les deux potentiels : acido-basique (pH) et oxydo-réduction (rH2) permettent de mettre en évidence la réalité biologique de 4 milieux différents, localisés dans les 4 zones du graphique, appelé bioélectronigramme.
La zone 1 est un milieu acide et réducteur, riche en protons et en électrons. C’est le milieu favorable à la création et au développement de la vie, des algues vertes, des microbes utiles, des eaux de qualité et des eaux thermales à la source. Les aliments vitalisants se situent dans cette zone acide et réductrice. On y trouve aussi les produits lacto-fermentés, les graines germées, les enzymes, les vitamines naturelles et les aliments au goût amer.
La zone 2 est un milieu acide et oxydé, riche en protons et pauvre en électrons. C’est le milieu favorable aux champignons, mycoses, lichens et antibiotiques. C’est la zone des produits au goût aigre et des aliments dévitalisés comme par exemple les aliments cuits ou industriels stérilisés.
La zone 3 est un milieu alcalin et oxydé pauvre en protons et en électrons. C’est le milieu favorable aux virus et aux maladies de la civilisation. C’est aussi celui des aliments du goût sucré, des vaccins et des eaux de surface ou souterraines traitées par des produits oxydants (eaux du robinet).
La zone 4 est un milieu alcalin et réducteur pauvre en protons, mais riche en électrons. C’est le milieu favorable à la putréfaction, aux aliments au goût salé, aux algues brunes et aux maladies infectieuses à microbes pathogènes. C’est aussi celui des eaux de surface (lacs et rivières) ou des eaux souterraines qui sont pour la plupart souillées (puits contaminés par les nitrates et les pesticides).
Les 4 terrains bioélectroniques

 (Figure 1)

4 – Terrain de santé et de maladies.
La bioélectronique Vincent définit le terrain de bonne santé et celui des diverses maladies, grâce aux mesures bioélectroniques de trois liquides du corps : le sang, la salive et l’urine (3). Les mesures réalisées avec un bioélectronimètre, précisent pour chacun des liquides, les 3 paramètres : le potentiel acido-basique (pH), le facteur d’oxydo-réduction (rH2) et la résistivité (rô).
Pour le sang veineux, les normes de santé parfaite (SP), sont  pH = 7,2  ; rH2 = 21 et rô = 210 ohms. Les micro-courants mis en œuvre par les échanges d’électrons correspondent à une tension (E) de 210 millivolts. Ce sang de très bonne santé est donc légèrement alcalin, plutôt réducteur, peu chargé en électrolytes et peu « électrisé ». Il devrait être celui de l’ensemble des adultes, mais nous sommes très loin du compte, puisque ce terrain est devenu en 50 ans dramatiquement rare.
La plupart de nos concitoyens, même jeunes, ont des mesures éloignées ou même très éloignées de ces normes en raison des conditions de vie, qui modifient peu à peu l’équilibre du milieu intérieur. La déviation progressive des paramètres bioélectroniques crée d’abord des malaises divers, puis apparaissent les maladies fonctionnelles qui ont toutes des coordonnées différentes. Quant aux graves maladies de dégénérescence (cancer, sclérose, thrombose…), elles sont situées sur le bioélectronigramme, dans la zone des maladies alcalines, très oxydées, sur-électrisées. et le plus souvent surchargées en toxines. Voici par exemple les mesures bioélectroniques du sang veineux des 3 maladies, qui montrent la gravité de la déviation par rapport aux normes de la santé parfaite.
Tableau 2_BEV
 
 
 
Santé et principales maladies
 
5 – Facteurs de perturbations du terrain.
L’organisme et les coordonnées bioélectroniques sont influencés toute la journée par de nombreux facteurs. Nous signalerons ici seulement les principaux, regroupés en 3 rubriques : hygiène, pollution et stress.
a – Une hygiène de vie néfaste.
Cette hygiène médiocre affecte principalement le facteur d’oxydo-réduction (rH2) et la résistivité sanguine (rô). On peut citer :
– La nourriture sur-cuite, qui a perdu son potentiel de vitalité (vitamines, enzymes).
– La nourriture industrielle qui contient de nombreux produits chimiques (conservateurs, colorants) et parfois des produits alimentaires favorisant les réactions allergiques (arachides…).
– L’eau de boisson (dite « potable ») sur-minéralisée, suroxydée (chlore) et surchargée en toxiques (pesticides, nitrates…)
– La sédentarité  avec une respiration étriquée et une activité musculaire insuffisante qui réduit les éliminations par la transpiration.
– Le sommeil léger, capricieux et peu réparateur qui ne permet ni d’éliminer la fatigue ni de recharger l’organisme en énergie vitale (4).
b – Des pollutions nocives nombreuses.
Les pollutions apportées par l’environnement, représentent une des causes principales de la dramatique détérioration de la santé (5). Nos concitoyens n’ont pas encore tous pris conscience de la gravité et de l’étendue de cette catastrophe sanitaire, car « l’omerta » règne en ce domaine, malgré les tentatives d’informations de quelques courageux militants de la santé naturelle. On peut regrouper ces pollutions en trois catégories.
– Les pollutions chimiques encombrent l’air, l’eau et les aliments de millions de molécules qui colmatent les membranes des cellules mais aussi qui freinent l’assimilation de l’oxygène, intoxiquent les cellules (poumons, intestins, foie, reins) et favorisent la création de radicaux libres (piégeurs d’électrons). Les principaux polluants sont : les produits chimiques industriels et agricoles, le tabac, les particules (diesel, amiante, laine de verre), les métaux lourds (mercure, plomb…).
– Les médicaments allopathiques sont des produits de synthèse qui peuvent déclencher des réactions indésirables. Ces effets pervers appelés « effets secondaires » ou signalés parmi les « contre-indications » sont précisés dans les notices d’information ou dans l’encyclopédie Vidal. Mais tous ne sont pas encore forcément connus ou pris en compte. Soyons donc très vigilants avec les médicaments et les vaccins utilisés souvent de manière excessive, car ils modifient tous, plus ou moins vite, l’état du terrain bioélectronique en affectant surtout le potentiel d’oxydation (rH2) par création de radicaux libres et aussi la résistivité sanguine en augmentant la viscosité. Quant aux antibiotiques, ils modifient également profondément le milieu intestinal normalement réduit (c’est à dire à l’abri de l’air). En augmentant le potentiel d’oxydation (rH2), on détruit des bactéries pathogènes, mais aussi de nombreuses bactéries anaérobies indispensables à une bonne assimilation des aliments en nutriments assimilables.
– Les rayonnements électromagnétiques (champ électrique, rayons X, rayons ionisants) créent une pollution sournoise supplémentaire, qui contribue à dévier le terrain biologique augmentant les risques d’allergies, mais aussi de maladies plus graves.
 
c – Des stress fréquents et nocifs.
La vie moderne multiplie les occasions de conflits, de frustrations, de soucis et de peurs, qui provoquent un ensemble de réactions traumatisantes (physiologiques, musculaires,…) et psychologiques appelées stress. L’état de stress correspond à une mise sous tension naturelle et indispensable des fonctions qui permettent une réaction (attaque ou fuite, colère ou refoulement …). Cette surtension mobilise l’énergie disponible (adrénaline, glucides, oxygène…) dans le but d’agir.
Lorsque la réaction est impossible, ou en cas de stress chronique (angoisse, souci, rancune….) ou de stress trop rapprochés (surmenage) l’organisme va maintenir la surtension intériorisée et il va puiser dans ses réserves d’énergie (cortisol, protéines ….). Plusieurs réactions vont alors se produire :
– mauvaise assimilation des nutriments essentiels (protéines, vitamines, magnésium…) avec une fuite des électrons et des catalyseurs dans l’urine.
– augmentation de la concentration en oxygène du sang associée à un état de survoltage nerveux et à la création de radicaux libres à partir de l’oxygène disponible et non utilisé pour l’action.
Cette suroxydation du sang (rH2 supérieur à 25) entraîne une fragilisation de l’organisme et un affaiblissement du système immunitaire. Les risques de maladies modernes (allergie, dépression) sont augmentés. Pour se protéger, les techniques de détente (loisir, massage, danse…) et les techniques de maîtrise du stress (relaxation, yoga, sophrologie…) peuvent être d’un grand secours (6). Ces activités ont toutes pour effet d’éliminer la surtension, de réduire l’oxydation. Elles contribuent par conséquent à faire baisser le rH2, pour le ramener vers la norme de bonne santé.
Les habitudes inadaptées, les pollutions et les stress chroniques sont dangereux, car ils contribuent à modifier, plus ou moins vite, les normes bioélectroniques de la santé. On constate, ainsi que l’avait annoncé le professeur Vincent, une lente, mais inexorable déviation, vers l’alcalinisation du sang, la suroxydation, la sur-électrisation et l’accumulation de toxines et de déchets, qui encombrent l’organisme. Ces facteurs, conduisent les êtres humains vers les malaises divers (constipation, allergies) puis les graves maladies de dégénérescence (thrombose, sclérose, cancer …). Quand la maladie est déclarée, 15 ans se sont écoulés souvent, et il est bien tard, pour réagir, autrement qu’en adoptant les techniques médicales (généralement de nature chirurgicales).
En revanche, avant que le mal ne se soit déclaré, ou après un acte chirurgical, il est indispensable de veiller à créer un environnement sain, et d’adopter une hygiène de vie, qui renforce les mécanismes de défense. Cette hygiène est celle proposée par la plupart des mouvements de santé naturelle et en particulier, par la bioélectronique Vincent (7).
Sur le bioélectronigramme ci-contre, sont représentés quelques perturbateurs du terrain et les principaux moyens capables de restaurer la santé.
Perturbateurs et restaurateurs
 
6- Comment normaliser le terrain ?
Pour corriger le terrain et retrouver la santé, il faudra respecter les trois nécessités biologiques suivantes :
a- Eliminer les perturbateurs, car il est indispensable de supprimer les causes du problème (tabac, produits chimiques, produits volatils aromatiques …).
b- Adopter une hygiène « biocompatible » (compatible avec la vie) et vitalisante, avec :
– une alimentation axée sur les végétaux (régime Crétois), en insistant sur les légumes biologiques chargés en anti-oxydants : herbes aromatiques (ail, persil …), graines germées et légumes lacto-fermenté.
– une consommation d’eau très peu minéralisée et une réduction des glucides et des protéines animales,
– une pratique quotidienne d’une activité physique (30 minutes au minimum), d’une relaxation et d’un contact avec la nature pour se recharger en énergie et éliminer les risques de sur-électrisation.
c- Assainir périodiquement le terrain, avec des cures d’épuration (monodiète), de revitalisation, (antioxydants, huiles essentielles, draineurs, etc…), et de séances de ré-équilibration (morathérapie, ionocinèse, négativation…).
(illustration possible des légumes anti-oxydants).
Vouloir corriger son terrain implique de réformer son mode de vie et d’utiliser des produits d’origine naturelle qui ont pour être efficaces des valeurs légèrement acides et très réductrices.
 
7 – Une technique d’avenir.
La bioélectronique créée par Louis-Claude Vincent, est une technique vraiment remarquable pour développer nos connaissances sur l’être humain et sur la vie.
D’abord elle fournit une information précieuse sur l’état de notre terrain, mais elle donne ensuite des moyens efficaces, pour le ramener vers les normes de « santé parfaite ». Elle a donc un rôle important à jouer, aussi bien dans un but préventif, qu’avec une intention thérapeutique. Son utilisation a d’ailleurs largement dépassé nos frontières et elle figure dans les protocoles thérapeutiques de nombreux passionnés, parmi lesquels on trouve, des médecins, des physiciens, des biologistes et des naturopathes.
Oui, en raison de ses avantages, la bioélectronique Vincent est bien une technique d’avenir.
_______
1- Voir pour complément le livre : La bioélectronique Vincent, édition Dangles.
2- Voir le Hors Série : Séminaire de BEV par le professeur Fougerousse, édition ABE.
3- Voir « Psychologie, bioélectronique et iridologie » par Annette Elens – Kreuwels, Ed. Du Fraysse, p. 48 – 102.
4- Voir « Le Sommeil Naturel », par Roger Castell, éditions : Le Courrier du Livre, Paris.
5- Voir Sources Vitales n° 22 (L’eau),  n° 38 (Alimentation), n° 42 (Epuration intestinale), n°57 (Les antioxydants).
6- Chaque stage de santé naturelle permet d’apprendre la relaxation et l’auto-hypnose.
7- Voir en complément, le livre de Roger Castell : Les clés de la longévité active, édition Dangles.
Roger Castell, psychologue naturopathe est président de l’Association de Bio-Electronique Vincent, et rédacteur de Sources Vitales, bulletin de l’ABE. Conférencier, il a été formé en bioélectronique par Louis-Claude Vincent, Jeanne Rousseau, Pierre Bressy et Daniel Pinon.
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L’Association de Bioélectronique Vincent (ABE), créée en 1989, a pour but de promouvoir la technique de recherches et la méthode de prévention créées par le Professeur Louis-Claude Vincent. Elle organise des stages de santé naturelle (4 jours par trimestre) et des séminaires de formation à la bioélectronique (initiation aux mesures, perfectionnement). Elle  réalise aussi des mesures bioélectroniques (eaux, boissons…) et produit chaque année 4 bulletins « Sources Vitales » (40 pages 21 X 29) et un Hors-Série, dont le prix est inclus dans l’adhésion annuelle de 43 € (Métropole) et 63 € (Hors de France). Elle a réalisé 14 hors-séries (l’Eau cette inconnue, Conditions et création de la vie, Résonances cosmiques …).
Pour adhérer ou obtenir une documentation, merci de prendre contact avec : Association ABE, 22 rue Pasteur – 72500 Château du Loir. Tel : 02.43.44.31.97.
Permanences téléphoniques : mardi de 9h à 11h et jeudi de 15h à 17h.
Courriel : abefrance@orange.fr – Site : www.votre-sante-naturelle.fr
Les livres de Roger Castell :


Portez-vous bien !
 Florian KAPLAR
© Naturo-Passion

16 réflexions sur “La bioélectronique, une médecine du « terrain »

  • Bonsoir Florian,
    Excellent article.
    La BEV une technique d’avenir qui n’a plus d’avenir pour l’instant. En Allemagne, en Sussie, Canada, USA cette méthode est courante mais devient de plus en plus rare. En effet il n’existe plus aucun fabricant d’appareils de bioélectronique européen, voir mondial qui respecte exactement les paramètres des appareils de Vincent comme réaliser les prises de sang à l’abri de l’air, pour des raisons qu’il serait trop long à expliquer. En France il doit encore exister 2-3 thérapeutes ou médecins qui pratiquent cette technique selon les critères exacts de Vincent et qui savent de quoi ils parlent. Ce n’est pas en s’intitulant bioélectronicien que l’on est obligatoirement un champion en la matière. Par ailleurs il faut quand même savoir que les laboratoires d’analyses médicales officielles ne peuvent plus pratiquer cet examen, absolument remarquable, car il ne figure pas sur la liste européenne officielle des examens pouvant être pratiqués dans les laboratoires de biologie humaine. Ils peuvent pratiquer cet examen mais se voient retirer leur N° d’agrément du laboratoire ce qui consiste à leur fermeture.
    Mais ne désespérons pas. Si les recherches d’un excellent ami aboutissent d’ici l’année prochaine la BEV va renaitre de ses cendres avec d’autres possibilités insoupçonnées. Malheureusement tous les appareils actuels ultra chers seront devenus obsolètes. Je ne puis en dire d’avantage pour l’instant.
    Pour la petite histoire, le pH sanguin normal, avait été donné par Vincent à 7,1 en son temps. Il a été revue et corrigé depuis. Pour différentes raisons (matériel lus fiable, solutions étalon et électrodes plus précises …. mai également évolution de la santé de l’homme allant dans le mauvais sens, les nouveaux paramètres normaux actuels sont les suivants:
    pH sanguin 7,34 à 7,43; salivaire 6,30 à 7,00; urinaire 6,50 à 7,20
    rH2 sanguin 20,0 à 24,0; salivaire également 20,0 à 24,0; urinaire 22,0 à 26,0
    R sanguin 180 à 225; salivaire 160 à 200; urinaire 25 à 60 ohms.
    Cordiales amitiés.
    Richard.

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    • Merci Richard, nous ne désespérons pas de relancer la fabrication d’appareils de mesure BEV, comme l’appareil de mesure de l’excitabilité neuromusculaire qui pourrait aider bien des médecins et thérapeutes dans leur pratique.
      Des formations vont bientôt être proposées dans ces domaines (BEV, CEIA, MEN), je m’y investis avec d’autres, dans un cadre associatif. Infos à venir.

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      • Bonjour Mr Kaplar,
        J’ai refait il y a une dizaine d’année l’appareil du Dr Delons avec ses bons conseils avant son décès un appareil beaucoup plus moderne relié par ordinateur et commercialement ça été un fiasco. Les médecins n’ont plus le temps et les thérapeutes n’ont plus d’intérêt que dans la “médecine dite quantique”.
        Concernant la BEV, lors d’une formation (printemps 2017), nous avons pu voir la disparité des résultats entre les appareils Hanna et Consort d’une douzaine de personnes. J’ai donc malgré tous les soins pris lors de ces analyses des doutes quant à la validité de mes résultats. Pour information une électrode pour la prise de sang est en train d’être réalisée en Pologne. Un médecin en a fait le test sur un volontaire lors de ce stage avec une sonde prototype.
        Je me suis toujours intéressé à l’eau et la qualité est de plus en plus “déplorable” au robinet bien que les normes soient régulièrement changées pour la rendre “potable”. La santé commence par là.

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        • Provost Michel

          Bonjour à Tous,
          A propos des électrodes de BEV, que ce soit Consort ou Hanna, ces deux constructeurs ont sensiblement des électrodes de même origine, puis qu’Hanna fait fabriquer en Pologne et que Consort utilise les réactifs de calibrage de Hanna, en tout cas, c’est ce que j’en ai déduit.
          Le sujet c’est que Vincent utilisait les électrodes en Calomel (Clorure mercuriel) qui ont été abandonnées du fait du danger du mercure et remplacées par le chlorure d’argent.
          Hanna conseille d’apporter une correctif de 207 à ajouter au redox pur l’électrode que j’utilise un multimètre portatif (HI930001) et le consort, si il affiche un rédox sans correction, la correction est appliquée pour le calcul du rH² que l’appareil affiche.
          Il est normal que l’on n’est pas une similitude dans les résultats des mesures, parce que la qualité des composants est différente.
          Ce n’est pas à nous fixer sur les différences apportées par les électrodes, mais de bien agir.
          Nous ne nous pouvons nous prévaloir de la façon dont l’organisme humain ou animal ou encore l’humus, vont réagir par les apport de correction alimentaires que nous appliquerons au vu des mesures.
          Les mesures du sang doivent être complétées pat la composition minérale du plasma, ce qui nous indiquera les carences éventuelles.
          Ensuite nous pourrons appliquer les formules de Delbet, et ce n’est que 21 joues plus tard que le contrôle indiquera comment le corps réagit.
          Pour le sang, il faut que l’aiguille du cathéraire perce le flacon par le bas et que la seringue qui aspire le sang dans le flacon soit au point haut opposé, ainsi il n’y aura pas d’air pour oxyder le sang par un transvasement.
          Et enfin il est impératif que celui qui a préparé le diagnostic, fasse le contrôle, avec le même instrument, dans les mêmes conditions.
          Bon courage
          Amitiés
          Michel

          Répondre
          • Merci Mr PROVOST de votre réponse rapide. Je suis convaincu qu’il y a un “hic” avec, soit les électrodes soit avec les appareils. Les appareils Consort avaient dans l’ensemble des résultats semblables alors que les résultats avec les appareils Hanna étaient très disparates. Pourtant les étalonnages semblaient corrects au départ et solutions tampons provenaient de flacons neufs (non entamés) pour tous les appareils.
            En ce qui concerne les carences (ou excès) en métaux et minéraux, j’utilise un appareil allemand qui m’indique par le biais d’ampoules contenant ces minéraux le résultat du test en quelques secondes sur écran pc. Je peux renvoyer l’information directement dans l’organisme puis je revérifie si l’information est bien passée. Une semaine après re-vérification pour m’assurer que l’info a “bien tenu”. Je vérifie aussi systématiquement quelques hormones transportées par le sang – thyroïde, surrénales, hypophyse, j’utilise le même processus. Après quelques dizaines d’expériences les résultats de BEV avant et après sont parfois édifiants. Je n’ai pas trouvé grand chose à ce sujet chez L.C. Vincent et successeurs mais je suis preneur. Le système hormonal est pour moi capital en ce qui concerne la santé et j’essaie de trouver une corrélation avec les phases lunaires-solaires de Mme Jeanne Rousseau, il y a bien des saisons à dépressions ou états dépressifs où la thyroïde est directement impliquée Mais c’est un autre sujet…
            Bien cordialement

  • Bonjour Richard,
    bonjour à tous.
    juste une précision.
    La notion de terrain biologique est diverse selon les auteurs, en fait le terrain d’une maladie est le lieu où elle se développe et l’avantage de la Bio-Electronique est de préciser, par les mesures, sur le graphique, le type de maladie si il y a.
    Les mesures de BEV ont d’autres applications, dans des domaines très divers, Richard est l’un des spécialiste de la qualité des eaux pour la santé.
    Pansernature a adapté les mesures de la BEV (Bio-Electronique Vincent)
    à l’agriculture, dans la continuité des travaux de Jeanne Rousseau, pour déterminer la capacité d’un sol à produire la vie des plantes et pour l’améliorer.
    Il faut en plus déterminer les équilibres minéraux (macro et micro)par des mesures complémentaires, spécifiques.
    Ces équilibres ont été défini par les travaux des chercheurs du collège de France, sous la direction de Pierre Delbet (1920 à 1935).
    Enfin, il faut savoir que ce n’est pas en apportant de l’azote que l’on compensera le manque d’azote, mais en faisant agir les micro-organismes du sol par des apports en carbone et en eau, selon le principe des transmutations de Kervran.
    Cela signifie que pour améliorer un organisme déficient, les mesures de BEV doivent être complétées par les mesures minérales pour préciser quels types d’apports correctifs sont nécessaires.
    L’avantage de la BEV, c’est qu’elle établira, au bout de 21 jours, à la fin du traitement, si on a bien ou mal fait. ce qu’aucune autre science ne peut faire.

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    • Merci Michel pour votre commentaire. Vous dites : “L’avantage de la BEV, c’est qu’elle établira, au bout de 21 jours, à la fin du traitement, si on a bien ou mal fait. ce qu’aucune autre science ne peut faire.” Je précise que la Mesure de l’Excitabilité Neuromusculaire (cf. travaux du Pr Laborit et du Dr Delons) permet cela également, en comparant la mesure avant et après le traitement. C’est hélas une méthode qui tombe en désuétude car l’appareil de mesure n’est plus fabriqué…

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  • Bonjour à toutes et tous,
    La bioélectronique est une science vivante qui doit évoluer avec nos connaissances…
    Jeanne Rousseau est pratiquement écartée de vos commentaires, et pourtant c’était bien la seule qui pouvait faire évoluer la notion de bioélectronique de Vincent. Une jeune femme qui poursuit sa carrière dans le domaine de l’eau et la dynamisation dans le mouvement, a me semble-t-il, tenté de faire évoluer les analyses mais sans aucun succès….
    Alors j’écris ici plus clairement ce qu’elle vous a dit il y a quelques années.
    Les rythmes biologiques saisonniers interviennent sur la lumière, la chaleur mais aussi sur le fonctionnement de nos organes.
    Notre coeur bat plus vite en été, et notre température s’élève c’est un fait. La pression sanguine est plus élevée en hiver, et notre glande thyroïde semble avoir une plus forte activité au printemps. Notre pH sanguin semble être à son au maximum en été et à son minimum au printemps.
    Il existe des données scientifiques et des analyses de Jeanne Rousseau qui confortent ces propos, mais elles sont oubliées dans vos remarques qui sont toujours les mêmes depuis des années…
    L’attraction gravitationnelle de la lune ne provoque pas seulement le phénomène des marées mais aussi de réels bouleversements biologiques sur les êtres vivants! Et selon de nombreux chercheurs Schulz, Takarta, Caroli, le sang apparaît comme un indicateur relativement fidèle de l’activité solaire.
    Ne devriez-vous pas prendre en compte toutes ces variations qui influent sur vos mesures ( saison, heure du prélèvement, le mode alimentaire, l’activité solaire et lunaire,activité) et non que l’âge de la personne ?
    Alors, par déduction, que mesurez-vous réellement dans le sang?
    Est-il encore nécessaire de le prélevé?
    C’est peut-être pour cela que des analyses bioélectroniques se passent des valeurs du sang depuis de nombreuses années!

    Répondre
    • Michel Provost

      Bonjour à Tous.
      Alison a raison, pour Jeanne Rousseau, on ne parle pas assez de ses travaux, c’est à partir de ce qu’elle avait découvert avec la BeV que j’ai commencé à travailler pour améliorer la qu

      Répondre
  • Bon, j’ai été coupé, por améliorer la qualité saine des aliments.
    les influences solaires, lunaires, les saisons, tout intervient, mais il y a aussi le fait que la BEV n(est que la technique de mesure du vivant à l’instant T de la mesure et qu’elle peut varier, mais il faut aussi savoir qu’elle ne peut tout faire, il faudrait aussi tenir compre de la minéralité du sang (plasma) et reprendre les équilibre de Delbet.
    La BEVnour ouvre le chemin de la compréhension de la vie et Jeanne Rousseau, comme tout scientifique qui se respecte avait de droit de s’interroger sur les limites de la BEV, l’action des rayonnements solaires et cosmiques, etc…
    Ce que je retiens de la BEV, c’est qu’elle me donne des indications objectives de la vie des sols, pour que je puisse orienter le travail du sol, mais cela ne me suffit pas, il faut aussi rétablir son équilibre, comme jean Boucher me l’a appris, parce que l’humus est le moteur de toutes les formes de vie, y compris la nôtre
    Quand on suit le travail de Gaston Naessens, sur la construction de la vie, la transformation successive des grains d’énergie en enzymes, en cellules, en bactéries, on y apercoit, dans la réplication cellulaire,
    au moment où une anomalie intervient et que la bactérie peut évoluer en mauvais germe, ce qu’il appelle la phace de cocancérisation, le moment où la BEV peut commenence à détecter le départ des maladies, parce que le système immunitaire est défaillant.
    La BEV nous indique un état de fait,la précision des instruments n’est pas pour moi à remettre en cause, cela dépend de ce que l’on cherche.
    Ou on fait de la recherche pure, là il faut du matériel de pointe et je suggère qu’il faut se replacer dans les conditions de Vincent avec l’éléctrode de redox en calomel, parce que je ne suis pas sur que celle en chlorure d’agent suit la même courbe de variation sur l’échelle des valeurs du redox, malgré la correction apportée par le fabricant.
    J’utilise un matériel plus simple pour les sols, de Chez Hanna qui a une électrode unique contenant celles de pH, de rédoc et de Température. Cela me suffit car je cherche une indiccation suffisante pour agir, quand je l’associe aux autres mesures physiques, celles des strates (argile calcaire et sable) et celle de la minéralité par la colorométrie UV rapports C/N, mg+ca/p, mg/K, etc.
    A partir de cet ensemble de mesure les apports faits sur le sol me permettent de voir les évotions du sol, de faire pousser du trèfle sans l’avoir semé, ce qui signifie que les apports agissent dans le cadre des transmutations telles que Kervran les a décrites.
    Là on s’aperçoit que tout est rencore à faire et que l’on doit procéder par étapes, en fonction de ce que nous donnent les mesures,
    et qu’il nous manque en matière humaine, une méthodologie encore à construire.
    Je ne prétend pas tout savoir, mais je constate que lorsque l’on apporte sur un sol 100g/m² de dolomie, au pied d’un arbre fruitier, que celui-ci évacue les pucerons, les fourmis, dans la semaine qui suit. (on n’a fait qu’informer le sol.
    Je constate aussi qu’une simpe tisane, avec une cuillère à soupe de plante grossièrement broyée, soir moins de 2 g pour 15 à 20 cl d’eau chaude, suffit à enrayer un rhume naissant, la grippe en trois ou quatre soirs, comme le fait un clou de girofle sur une rage de dent, ou encore un jus de citron pour éluder la soif, la faim du grignotage.
    Là encore c’est de l’information qui agit sur un corps pouvant peser près de 80 kg.
    Alors, je veux bien dialoguer sur les aléas d’une technique, mais commençons par l’utiliser, par agir, si elle nous apporte, alors on pourra progresser avec elle.
    Merci à Tous
    Michel
    Un de mes amis Médecin qui pratique depuis longtemps des mesures de BEV humaines, m’a souvent dit qu’il avait constaté qu’elle ne lui suffisaient pas pour avoir un diagnostiquer précis

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  • Bonjour à tous,
    Je pratique la Bioélectronique Vincent depuis peu et je m’aperçois que les chiffres qu’avait, en son temps, relevé L. C. Vincent ne sont plus d’actualité.
    Comme le souligne Provost, tout reste à faire. Les appareils de mesure, que ce soit Hanna, Consort et autres, n’utilisent plus du tout le type de sonde, ni la méthodologie, qu’empruntait Vincent. Pouvons-nous encore nous référer aux bases de données de Vincent?
    Nous devons y apporter des précisions et améliorations.
    Chaque être humain est différent, influencé différemment, évoluant différemment, alimenté différemment, pollué différemment. Pourquoi, alors nous référer qu’à des fourchettes de chiffres standards des années 50?
    Les fourchettes de Pleine Santé ont évoluées. Richard Haas l’a parfaitement souligné en fournissant de nouvelles échelles:
    pH sanguin 7,34 à 7,43; salivaire 6,30 à 7,00; urinaire 6,50 à 7,20
    rH2 sanguin 20,0 à 24,0; salivaire également 20,0 à 24,0; urinaire 22,0 à 26,0
    R sanguin 180 à 225; salivaire 160 à 200; urinaire 25 à 60 ohms.
    Dans le même ordre d’idées, Alison rappelle, fort justement, que Jeanne Rousseau précisait que les liquides physiologiques, comme le sang, la salive et les urines subissent, telle la marée, des influences, cosmiques et telluriques qui s’inscrivent dans des cycles.
    Pour ma part, je suggère que les paramètres Bioélectroniques puissent fluctuer en fonction de l’âge, du sexe et de la morphologie de la personne.
    Enfin, depuis que je me documente, j’ai les plus grandes peines du monde à savoir si nous parlons tous la même langue. Les chiffres publiés dans les études, prennent-ils comme référence 37°C ou 25°C? Par exemple, Vincent pratiquait ses mesures à 37°C pour ainsi dire in vivo. Est-ce c’est le cas pour tous les praticiens?
    En effet j’ai pu constater à quel point la température de la mesure a une influence sur les paramètres, notamment sur la résistivité. Il est dans ce cas, impératif d’extrapoler les résultats par calcul.
    Pour finir je pense que toutes ces précisions et améliorations à apporter à ces paramètres Bioélectroniques ne pourront se faire qu’au prix d’une concertation étroite entre les différents praticiens, chercheurs et notamment en consolidant une base de données de rapports d’expériences.
    Nous pouvons, malgré tout, garder cette méthode extraordinaire comme acquise. Mais simplement améliorer les interprétations au vue des nouveaux progrès de la médecine, étudier les fluctuations et interactions entre les différents paramètres pour trouver de nouvelles tendances et les intégrer dans une nouvelle méthodologie.
    Chaleureusement.
    Jean-Loïc

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    • Bonjour Jean Loïc,
      On a tendance à considérer l’évolution des valeurs humaines, par les mesures de BEV, comme inéluctables pour se développer vers plus de pathologie, ce qui n’est pas à mon avis la bonne orientation.
      Si les valeurs évoluent, c’est parce que notre alimentation est souvent trop alcaline, grasse, etc. en fait c’est notre comportement vers notre alimentation et ce qui est mis à notre disposition qui a évolué avec la chimie et les fasts foods.
      Commençons par améliorer la qualité des aliments, la façon de les produire, et l’amélioration se produira.
      Ce n’est pas pour rien que j’ai passé 20 ans à étudier cela et j’ai pu mettre en oeuvre une méthode d’agriculture naturelle qui utilise les mesures de BEV comme révélztion du terrain.
      J’ai constaté que des connaissances ont été censurées et de ce fait pas enseignées, parce qu’elles remettaient ne cause les principes de Pasteur et de Liebig donc de la production chimique des engrais, et des pesticides. aussi bien en médecine qu’en agriculture.
      Imaginez qu’avec un stage de 3 x 2 jours, il est possible pour une personne, du jardiner à l’agriculteur, à l’ingénieur , quelque soit son niveau, de devenir opérationnel, performant, indépendant !
      On va jusqu’à sortir su système commercial actuel, pour vendre la qualité à son prix en dehors des marchés, parce que la qualité prévaut si elle est prouvée, d’où notre création d’un indice de qualité énergétique alimentaire qui note la valeur chiffrée de cette qualité
      Les mesures de BEV sont à la base de cette indice
      Si Vincent prenait ses mesures à 37°c, c’est parce qu’il avait une cellule de mesure où toutes les électrodes étaient incluses, ce qui permettait une mesure immédiate.
      Les fabricants Consort, Hanna, ne la font pas et le Vincent est hors de prix.
      Ce qu’il faut faire c’est souder un tube en partie basse du flacon de l’appareil Consort pour brancher le cathétaire de l’aiguille de prélèvement et un autre en partie haute du flacon, à l’opposé, pour brancher la seringue.
      Une fois la mesure pH Redox prise, on change de’électrode pour la conductivité.
      Ne pas oublier que chaque constructeur, doit fournir la conversion entre l’électrode Redox de Vincent (Calomel)et la leur pour l’ajouter à la mesure lue, pour rester dans les mesures de BEV. (Hanna : 207, Consort : 200.
      L’interprétation des mesures est une chose importante, mais il ne faut pas oublier que la correction du terrain biologique ne peut pas être automatique parce que le corps obéit à des contraintes et des processus de conversion que nous ignorons, même si il a des systèmes qui peuvent fonctionner comme les tisanes, et autres choses.
      Ne pas oublier que ce n’est pas en apportant ce qui manque que le corps se règlera, mais en apportant au corps ce qui va lui permettre de l’élaborer physiologiquement, et qu’il faut y ajouter le mental gagnant.
      ;

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      • Bonsoir Michel Provost,
        Je vous remercie pour votre réponse rapide.
        Pour ma part, je suis persuadé que plus personne, ne peut prétendre avoir aujourd’hui, les chiffres de la pleine santé exposés par L.C. Vincent en 1950.
        Je n’en veux pour preuve les mesures que j’ai prises sur mon fils Arnaud âgé de 20 ans, en parfaite santé, sportif et dont l’alimentation est plutôt “saine” (pas de Mc-Do ou autres), pas d’alcool et non fumeur.
        pH sang= 7.48 rH2 sang= 22.45 rô sang= 200 donc assez éloigné des chiffres de Vincent pour des jeunes hommes sportifs de 20 ans (1950):
        pH sang= 7.20 rH2 sang= 21 rô sang= 210
        D’autre part, sans savoir si c’est une norme, adoptée par tous les chercheurs au niveau des publications scientifiques, j’édite toutes mes mesures à 37°C, le différentiel avec la température de prise est alors extrapolé par calcul à partir de l’équation de Nernst.
        Merci pour votre idée d’un réservoir étanche pour plonger les sondes à l’abri de l’air, je vais bricoler un système identique.
        Tout à fait d’accord avec vous, les interprétations sont utiles pour dégager des tendances, mais il faut toujours garder à l’esprit que nous sommes tous différents par nos parcours, notre environnement, notre généalogie et notre psyché. Fort heureusement pour la recherche scientifique qui trouve souvent ce qu’elle ne cherchait pas, à priori, l’homme réagit de façon différente et surprenante à un même stimuli. Espérons qu’il ne soit jamais mis en équation et que son terrain ne soit jamais stéréotypé au point de garder une part de “Tierra incognita”.
        Bien cordialement.
        Jean-Loïc

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      • Bonjour,
        En lisant votre écrit “notre alimentation est souvent trop alcaline, grasse, etc.” je suis surprise car j’ai l’habitude d’entendre ou de lire plutôt l’inverse : notre alimentation serait bien souvent trop acide, ou disons trop acidifiante.
        Pouvez-vous détailler ce que vous voulez dire ?
        Merci,
        Armelle (débutante en BEV 🙂 )

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  • Bonjour Florian,
    Très bon article de synthèse sur la BEV. Concernant l’aspect microbiologique et les germes infectieux, il existe une contradiction entre le schéma “les 4 terrains bioélectroniques”(germes pathogènes dans le quadrant 4) et le schéma suivant “santé et principales maladies” qui montre que les microbes pathogènes se trouvent répartis dans 3 quadrants (acides oxydé et réduit et alcalin réduit).
    Par ailleurs, il existe à mon initiative un projet de réaliser des mesures BEV pour établir un “microbioélectronigramme” avec des germes “modernes” et courants, pathogènes ou utiles de notre microbiote intestinal (E. Colis, clostridium, entérocoques, bactéries lactiques, candida albicans…)
    Bien à toi
    Yann

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